Après une rupture conventionnelle fin 2013, Charlotte s'inscrit à Pôle Emploi. Avec un ancien salaire de journaliste d'environ 2400 euros, son allocation chômage est désormais de 1800 euros. Insuffisant selon elle pour « couvrir son rythme de vie », après « trois mois de glandouille », elle reprend des petits boulots. Elle ne déclare rien à Pôle Emploi.
Décidée à se reconvertir, elle bénéficie d'un bilan de compétences pour travailler son nouveau projet professionnel.
Mais voilà, il y a quelques mois, Charlotte est informée par courrier d'un " trop perçu ". " C'était dit assez gentiment", décrit la jeune femme. "Mais je me suis pris une grosse claque ! J'ai fraudé et je me suis fait prendre : je n'ai pas eu de chance. "
Le montant à rembourser correspond à l'année de petits boulots réalisés, soit environ 4000 euros.
D'échanges avec un conseiller Pôle Emploi à des courriers moins facilitants avec un huissier, elle décrit son périple pour rembourser sa dette, finalement ramenée à 3000 euros.
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