Synonyme(s) : Garde d'enfant à domicile - Auxiliaire parentale à domicile
Salaire moyen
18 100 €
Salaire moyen brut par an
Niveau d'étude
Aucun
Top 5 compétences
Pour beaucoup de jeunes filles, le poste de baby sitter constitue la toute première expérience professionnelle. Accessible sans diplôme, la profession n'est pourtant pas dénuée de responsabilités, bien au contraire. Auparavant levier de la vie de quartier, le métier se professionnalise désormais grâce à la multiplication de plateformes de mise en relation. De quoi faire du baby sitter un tremplin vers une carrière dans le milieu de la petite enfance.
Le baby sitter garde des enfants en l'absence de leurs parents, de manière ponctuelle (soirée occasionnelle) ou régulière (sortie d'école).
Véritable substitut aux parents, il se charge de toutes les étapes du quotidien de l'enfant :
Le baby sitter participe pleinement au développement de l'enfant, en le stimulant par des activités (dialogues en anglais, jeux, etc.).
Avant toute chose, le baby sitter doit jouir d'un bon contact avec les enfants et les nourrissons. Il est créatif, joueur et patient. Son sens de l'initiative lui permet d'imaginer mille manières de s'occuper. C'est ainsi qu'il peut gagner la confiance de ses petits protégés et prolonger son expérience auprès de son employeur.
Mais le baby sitter est également conscient de ses responsabilités. Il est donc très rigoureux, attentif à la sécurité, attaché à l'hygiène. Son sens de l'écoute s'adresse aussi bien à l'enfant qu'à ses parents. S'il est le plus souvent doux, il sait faire preuve d'autorité si besoin.
Bon à savoir : aujourd'hui, les baby sitters maîtrisant au moins une langue étrangère sont particulièrement recherchés.
Les plus :
Les moins :
Baby sitter compte parmi les derniers métiers encore accessibles sans diplôme. Bien souvent, d'ailleurs, les revenus qu'il génère permettent de financer un cursus universitaire.
Malgré tout, la forte concurrence et la multiplication des services spécialisés poussent les candidats à se professionnaliser, en décrochant par exemple :
Le salaire du baby sitter est librement négocié entre lui et ses employeurs. Généralement fixé au SMIC horaire (autour de 10€), il peut être revalorisé par des primes (jour de fête, travail de nuit...).
Bon à savoir : bien souvent, le travail du baby sitter n'est pas déclaré, ce qui nuit au décompte de ses cotisations chômage et retraite. Le candidat ne doit donc pas hésiter à faire savoir à son employeur que sa déclaration URSSAF lui permet de déduire une partie de la somme ainsi dépensée de ses impôts.
Baby sitter n'est souvent qu'un métier d'appoint et ne s'inscrit dans aucune hiérarchie : il ne présente donc pas d'évolution de carrière à proprement parler. Il constitue cependant une première expérience appréciable pour les candidats désireux d'évoluer à terme dans le secteur de la petite enfance.
La plupart des baby sitters travaillent à leur compte, employés directement par les parents. Néanmoins, se développent aujourd'hui de nombreuses entreprises de mise en relation qui proposent aux familles les services de baby sitters salariés.
Le baby sitter peut également être embauchés par un établissement d'aide à l'enfance : garderies, foyers, crèches...
Secteur | Services à la personne |
Niveau d'étude minimum | Aucun |
Diplôme conseillé | CQP |
Alternance | Non |
Insertion professionnelle | Excellente |
Salaire débutant | SMIC horaire |
Le salaire moyen de Baby sitter est de 18100 €.
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