Doctorant (h/f): effets de la lumière sur la prise alimentaire et le métabolisme

Doctorant (H/F): Effets de la lumière sur la prise alimentaire et le métabolisme

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* Fonction publique : Fonction publique de l'État
* Employeur : Centre national de la recherche scientifique (CNRS)
* Localisation : 67084 STRASBOURG (France)
* Nature de l’emploi : Emploi ouvert uniquement aux contractuels
* Nature du contrat : Non renseigné
* Expérience souhaitée : Non renseigné
Rémunération : La rémunération est d'un minimum de 2200,00 € brut par mois.

Sujet de thèse :
La lumière ambiante joue un rôle majeur pour notre physiologie. Cependant, ses effets dépendent de l’heure à laquelle elle est perçue par la rétine. Ses effets durant la journée sont bénéfiques pour la santé. En revanche, la pollution lumineuse de nuit, qu’elle soit due à l’utilisation d’écrans ou au travail en horaires décalés, a des effets néfastes sur la santé métabolique car elle favorise les risques de diabète et d’obésité.
Ce projet de recherche vise à déterminer comment la lumière module la prise et le métabolisme énergétique par le biais de processus circadiens et d’effets directs. La compréhension des mécanismes impliqués reposera en partie sur la comparaison des effets de la lumière entre modèles animaux diurnes et nocturnes. L’implication des circuits neuronaux de l’éveil et du sommeil sera également considérée.
Ce projet de thèse devrait conduire à la validation préclinique de la photothérapie comme moyen interventionnel dans la régulation de la prise alimentaire et du métabolisme. Ces résultats mécanistiques devraient également contribuer à ouvrir la voie au développement de nouvelles approches photothérapeutiques dans le traitement des troubles liés à la prise alimentaire, au diabète et à l'obésité.

Contexte :
Le doctorant ou la doctorante travaillera pendant une période de 36 mois dans l’équipe « Régulation et perturbation des rythmes neuroendocrines » de l’Institut des Neurosciences Cellulaires et Intégratives (INCI – UPR3212), sous la direction du Dr Etienne Challet. L’équipe compte environ 18 personnes (dont 10 chercheurs statutaires) et l’INCI compte 9 équipes en tout, pour un total d’environ 130 salariés dont une cinquantaine de chercheurs statutaires. Une part du travail, notamment l’aspect comportemental, sera effectuée au Chronobiotron (CNRS UAR3415), la plateforme d’expérimentation animale associée à l’INCI.



Profil recherché

Contraintes et risques :
Le projet nécessite d’être en capacité de travailler avec des rongeurs. Certaines expériences peuvent nécessiter des présences ponctuelles en horaires décalés ou pendant le week-end.


Niveau d'études minimum requis

* Niveau : Niveau 8 Doctorat/diplômes équivalents

C’est l’une des plus importantes institutions publiques au monde : 33 000 femmes et hommes (dont plus de 16000 chercheurs et plus de 16000 ingénieurs et techniciens), en partenariat avec les universités et les grandes écoles, y font progresser les connaissances en explorant le vivant, la matière, l’Univers et le fonctionnement des sociétés humaines.

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